Le 4 novembre 1956 à l'aube, une vaste offensive soviétique est lancée pour écraser «la révolution hongroise» qui a débuté mi-octobre. L'artillerie pilonne Budapest, 1.500 chars russes entrent dans la capitale. C'est le début d'une répression terrible, sanglante, qui conduira à l'anéantissement des aspirations d'indépendance et de liberté du peuple hongrois
Soixante ans plus tard, le communisme existe encore et la virginité qu'il tente de se donner (en France, par exemple) n'est-il pas qu'apparence ?
La dictature du prolétariat chère au petit père du peuple a-t-elle disparu ?
Ne nous leurrons pas, il y aura encore des Budapest, des Prague, des Crimée, des Places Tien'Anmen !
Et n'oublions pas que lorsque la démocratie est faible, cela devient anarchie et conduit à la dictature; les exemples ne manquent pas.