De belle images du télescope Hubble qui vient d'être réparé.
Sur la photo de gauche : Les restes de la supernova «N132D» dans le grand nuage de Magellan.
Les structures roses et violettes, à l'aspect éthéré, sont les restes d'une grosse étoile (10 à 15 fois plus massive que le Soleil), dont l'explosion aurait pu être observée depuis la Terre il y a 3000 ans.
Les arcs roses qui apparaissent sur cette image sont des nuages d'hydrogène libérés par l'explosion de l'étoile. Les taches violettes sont, elles, composées d'oxygène
.
Sur la photo de droite : Une nébuleuse de type «Papillon».
Les «ailes» sont en fait des nuées de gaz brûlant à plus de 20.000°C, qui se déplacent à près d'un million de kilomètres par heure. Au centre de ce déchaînement d'énergie se trouve une étoile à l'agonie, qui a un jour mesuré plus de cinq fois la taille de notre soleil.
Cette nébuleuse, qui fait partie de la Voie lactée, est située à environ 3800 années-lumière de la Terre, dans la constellation du Scorpion.
Appeler les immigrés en France à ne pas venir travailler, à ne rien acheter et à ne rien vendre pendant 24 h le 1er mars 2010 : c'est l'objectif d'un collectif pour montrer que, sans immigration, l'économie française tournerait au ralenti.
L'idée n'est pas neuve, mais elle est originale. Le 1er mai 2006, un vaste mouvement de boycott économique était lancé par les populations d'origine hispanique aux Etats-Unis.
«Nous voulons marquer les esprits et faire en sorte que le regard qu'on porte sur les immigrés change en France. Aujourd'hui, le mot «immigré» est quasiment devenu une insulte. Ce n'est pas normal», explique Nadir Dendoune, porte-parole du collectif.
Si le mouvement est principalement destiné «aux immigrés et à leurs descendants», «tous les non-immigrés solidaires et conscients de l'apport des immigrations à la croissance de notre pays»
peuvent aussi participer au boycott. "Blacks, blancs, beurs, de gauche, de droite…"
Que pensez-vous de cette initiative ?
Les baskets à 1 € !
On connaissait la paire solidaire, confectionnée dans les règles du commerce équitable et achetée par les fameux “bobos”… Mais ce serait vraiment solidaire si les pauvres pouvaient aussi se
payer de bonnes baskets! Voilà l’idée du Prix Nobel de la Paix, Monsieur microcrédit, Muhammad Yunus.
Il a proposé aux allemands d’Adidas de faire du “social business”. Fabriquer des chaussures qui “offrent une protection fiable face aux infections vermifuges, très répandues et nocives, et
ce à prix abordable pour la population pauvre…” La presse allemande parle de moins d’1 euro la paire.
Développer des produits qui soient accessibles aux marchés des “pays de la délocalisation”, plutôt que de faire uniquement de la marge pour les actionnaires, c’est le début d’une économie non
seulement solidaire mais plus pérenne…