La polémique liée à l'affaire de cette professeure de danse de Science-Po poussée vers la sortie pour avoir refusé d'utiliser les termes "follower" et leader" en lieu et place des mots "hommes" et "femmes" est du plus haut niveau du ridicule. Elle interpelle également sur l'incapacité de nombre de responsables, politiques, associatifs ou culturels à s'opposer à cette mode destructrice de la théorie du genre issue du wokisme !
Qu'on le veuille ou non, la nature a fait qu'il y a dans ce monde des êtres femelles comme des êtres mâles. Reconnaître qu'il peut y avoir des êtres asexués ne peut signifier la négation des genres et on ne saurait se plier à cette reconnaissance pour faire disparaître les termes d'homme et de femme !
Ce n'est pas l'effacement de la différence qui nous rapprochera mais l'accueil de l'autre dans sa différence, cela devant être vrai dans les deux sens n'en déplaise aux partisans de cette absurde théorie que sont ces maîtres de la pensée moderne, vrais fossoyeurs de la culture qui ne voient même pas le ridicule de vouloir, à la fois, féminiser à tout va l'écriture des métiers tout en niant par ailleurs les genres.
Nous avions des docteurs, des professeurs, des ingénieurs, etc., c'est sans doute très bien d'avoir des docteures, des professeures, des ingénieures, etc., mais cela signifie donc bien qu'il y a "genre" !
Chers "neutres", pardonnez-nous de nous sentir bien dans notre peau de femme ou d'homme et de ne pas vouloir être assimilés à votre "neutralité". Vivez donc celle-ci (si tel est votre choix) avec sérénité au milieu d'un monde de diversité qui ne vous demande rien. 😎
Et, si j'osais, j'ajouterais "Dites à vos penseurs de cesser de nous faire ch... !."