Yvon cotisait au Régime social des indépendants. A la suite de son décès le 1er mai 2009, son épouse a fait tous les papiers nécessaires. Elle a signalé à la caisse le décès de son mari et a payé la dernière cotisation dûe.
Mais la caisse a continué à envoyer des courriers à l'homme décédé en le menaçant : " Nous constatons que vous restez redevable de la somme suivante. À défaut de régularisation immédiate, votre dossier sera transmis au service contentieux pour la mise en oeuvre d'une procédure de recouvrement forcé."
La veuve, excédée de continuer à recevoir des courriers alors que tout avait été fait dans les règles, a répondu en leur disant d'envoyer leurs relances au cimetière d'Arleux (Nord) où repose son mari.
Et ils l'ont fait ! C'est le gardien du cimetière qui a reçu les lettres et qui les a remis à la mairie. L'administration les a alors remises à la veuve.
Ubuesque.
En se basant sur de nombreuses études menées sur des animaux (essentiellement des rats), qui avaient mis en évidence la "suractivation" de nombreuses zones du cerveau chez les mères, les auteurs de l'étude se sont demandé si des changements structurels du même ordre se produisaient dans l'encéphale féminin après l'accouchement. Pour le savoir, ils ont tout simplement observé, par IRM, le cerveau de 19 femmes qui venaient de donner la vie. La première fois entre deux et quatre semaines après la naissance de leur bébé, la seconde deux mois et demi plus tard. Les analyses ont montré une augmentation du volume de matière grise dans le cortex préfrontal, les lobes pariétaux et le mésencéphale. Détail amusant : avant l'expérience, les mères avaient toutes répondu à un questionnaire sur la perception qu'elles avaient de leur nouveau-né. Or, les chercheurs ont constaté par la suite que plus leurs sentiments envers leur bébé étaient forts (avec l'emploi d'adjectifs positifs comme "beau", "parfait", "idéal" ou "spécial"), plus leur cerveau avait grossi.
Géo-localiser son bambin en temps réel ! Surprotection des parents, non-respect de la vie privée ou au contraire bon sens, cet outil peut-il trouver sa place en France ? Il y a les « pour » comme Marie, jeune mère : un enfant ne voit pas toujours le danger. Au lieu de les empêcher de vivre leur vie en les enfermant à la maison, ils peuvent partir plus souvent car les parents sont plus sereins ». Et il y a les « contre » comme Pierre, qui s’offusque de ce dispositif : « Les enfants ne sont pas la propriété des parents. La prochaine étape, c’est la laisse ? ».